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Annecy awards 2019
DVD Cinéma
Edité par Chalet Films. Paris - 2018
9 films qui ont marqué le monde du cinéma d'animation en 2019, 9 courts-métrages qui mélangent les techniques, les narrations et les formats, un festival de créativité, un festival dans tous les sens ! - "A year along the geostationary orbit" de Felix Dierich (2018, 16') : Une année à travers les yeux d'un observateur distant, le satellite météorologique Himawari 8, nous offre une vision hypnotique de la beauté et de la fragilité de la Terre et de ses catastrophes. - "Dont know what" de Thomas Renoldner (2019, 8') : Le cinéma de divertissement et l'art vidéo fusionnent en une sorte de nouveau genre cinématographique, qui alterne entre vues réelles et animation. On peut également le voir comme une composition musicale. - "Fille" de Daria Kashcheeva (2019, 15') : Le lien entre un père et une fille est mis en péril par des choses qui ne sont pas dites et des blessures qui tardent à guérir. - "Fille dans le couloir" de Valerie Barnhart (2018, 11') : Un homme témoigne des circonstances qui entourent la disparition d'une enfant et porte avec difficulté le lourd poids de son silence et de son inaction. - "La pluie" de Piotr Milczarek (2019, 5') : A propos de la conscience collective. Ne pas être responsable de nos actions nous pousse à suivre la foule, et pourrait tourner à la tragédie. Les conséquences de l'hypnose collective sur les personnes qui la combattent et sur la foule. - "Mémorable" de Bruno Collet (2019, 12') : Depuis peu, Louis, artiste peintre, et sa femme Michelle vivent d'étranges événements. L'univers qui les entoure semble en mutation. Lentement, les meubles, les objets, des personnes perdent de leur réalisme. Ils se déstructurent, parfois se délitent. - "Son of the sea" d'Abbas Jalali Yekta (2018, 10') : Un homme vit dans une maison avec sa femme et avec l'illusion de leur fils sur le mur ! Cette hallucination amène progressivement des complications dans leur vie. - "Ted-ed 'accents'" de Robertino Zambrano (2018, 3') : Voici l'ode de Denice Frohman à l'accent portoricain de sa mère. "Je voulais détacher ma mère d'une honte qui ne lui appartenait pas. Je voulais l'inscrire dans une force qu'elle possède." - "Tétard" de Jean-Claude Rozec (2019, 14') : J'étais toute petite, mais je m'en souviens encore très bien. Papa et maman n'y ont vu que du feu, mais moi, j'ai tout de suite su. La chose qu'il y avait dans le berceau, c'était pas mon p'tit frère. Non. C'était toi. T'avais déjà cette drôle de tête. Et puis tu puais. Hein, Têtard ?. Bonus : interview(s), courts-métrages, festival(s) et affiche animée
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